Selon Capital.fr repris par Reuters, l'Expansion, LMI, Le Monde etc...
"HP est en discussion avancée avec Bull en vue de racheter le groupe informatique français,
Conseillé dans cette opération par la banque d'affaires Morgan Stanley et le cabinet d'avocats Freshfield, HP devrait déposer sa proposition de rachat début août".
L'offre de HP porterait sur un montant de 720 millions d'euros, soit un cours de 7,5 euros par action Bull, ce qui représente une prime de 40% par rapport au cours moyen du groupe sur la base des cours du mois de juillet.
Au 31 décembre 2006, Le capital de Bull était contrôlé par France Télécom (10,1%), Deutsche Bank (5,3%), NEC (3%) et les salariés (1,1%), le flottant représentant 78,3%, selon le site internet de Bull. L'activité de Bull aujourd'hui respose sur deux grands piliers, les serveurs et l'intégration logicielle (principalement liée à l'Open Source).
A Paris, l'action Bull bondissait de 10%. A la tête de 7.200 salariés, le groupe français, qui a décidé de se recentrer vers les services, a publié en 2006 une perte nette de 17,1 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 1,15 milliard d'euros.
Contactés par lemondeinformatique.fr, les deux groupes jouent les touristes à la douane : "rien à déclarer".
Le 19.10.07, le PDG de Bull indique concernant HP n'avoir reçu "aucune proposition formelle", mais a dit "ne rejeter aucune alternative de quelque ordre qu'elle soit".
33 commentaires à lire:
Ca va mettre un peu d'ambiance à la rentrée...
Voici une info de fin 2006 :
"Bull : la mobilisation continue contre le gel des salaires
L’intersyndicale du groupe informatique Bull (CGT, CFDT,
CFE-CGC, CFTC et FO), qui multiplie depuis septembre les
appels à des actions et arrêts de travail contre le «gel des salaires
», a appelé de nouveau les salariés à la grève mercredi 18
octobre.
Le mouvement a été déclenché par la décision d’augmenter simultanément le bonus du PDG de 80% et de geler les salaires de tous les salariés. Un millier des 4.500 salariés de Bull s’étaient mis en grève le 5 octobre et plus de 700 d’entre eux avaient manifesté devant le siège du groupe aux Clayes-sous-Bois,
dans les Yvelines."
en fait la nouvelle politique voiture ca doit etre pour pouvoir garder les clio blanches "bull - architect of an open world" apres le rachat :)
Ca risque de faire un paquet de francais a virer tous ca... Si il y a des pertes, ca ferait une bonne occasion de demarer une societe pour le service de mettre HPS dedant...
A suivre.
En tous cas si l'operation se fait, c'est une bien mauvaise nouvelle pour l'emploi informatique en France car une fois que HP aurait recupere les parts de marche de Bull, les emplois de service exBull vont se delocaliser a vitesse en grand V vers les pays a bas salaires et la consequence en sera une nouvelle fois des coupes dans les effectifs d'employes Francais et Europeens, avec un nouveau PSE (triannuel), qui se fera en 2008/2009...? Jusqu'a quand cette destruction chronique des emplois en France?
Ca va leur faire drôle les syndicats de Bull ! Je les connais, ce ne sont pas des enfants de coeur. Au fait cela va être sympha la Smart avec :
BULL GROUPE HP !
Chez HP, l'idée doit certainement séduire, allez pour l'année prochaine, on le fait! avec une année 2007 qui va battre des records, Tonton MH ne saura refuser une prebende de plus pour les méritants selon son évangile.
Pour Bull, ça c'est une boite qui va nous apporter toutes la fraicheur d'une culture d'entreprise naphtaliné!! et pour ne pas trop crèer de choc culturel, hp fonce à donf vers le moins disant à tous les niveaux. L'intégration sera ainsi transparente.
Politique voiture confiscatoire, escroquerie sur le CPB, Foutage de geule sur la GPEC, gel des salaires rampant, sabotage des outils, de l'environement de travail, opacité sur le process de reconnaissance avec le VPB discrétionnaire comme sous l'ancien régime: YdT, un retour aux sources ? C'est pire chez Bull ? ils ont de l'avance tous simplement et l'habitude des vaches maigres.
D'un autre coté un rachat pour 1 M€ de CA c'est pas du bricolage? raclage de fond de tiroir pour atteindre les 100M$ DE CA groupe?
Il est des stratégies plus brillante, indeed!
Quel paysage syndical chez Bull? Je n'ai trouve aucun Web ou Blog....
Source vnunet:
" Rappelons qu'on entend également beaucoup parlé du groupe français de services informatiques dans le dossier de l'OPA lancée par Fujitsu Services sur GFI Informatique. Bull pourrait contrer le projet du groupe IT nippon en décidant de se rapprocher de son homologue français"
source silicon.fr :
"Cette acquisition aurait du sens pour HP qui multiplie les achats dans les systèmes d'infrastructures et dans les logiciels de BTO (Business Technology Optimisation).
Bull est en effet un acteur reconnu dans le domaine des serveurs, qui plus est sur l'architecture Itanium pour laquelle, à l'exemple de Tera10 au CEA, il a en particulier conçu de puissants supercalulateurs. Le mariage serait donc plus facile sur le plan technologique.
D'autre part, Bull est très présent dans l'infogérence, un domaine sur lequel HP tente de se renforcer en imposant ses solutions autour d'OpenView. Le fabricant s'est même construit une offre de premier plan dans les logiciels open source de supervision et d’administration.
Enfin, rappelons que Bull est historiquement un partenaire de premier plan sur le marché des administrations.
Il y a donc de toute évidence des complémentarités à jouer et un intérêt à l'acquisition éventuelle de Bull par HP. Sans oublier une probable volonté politique du gouvernement français, de se dégager d'une encombrante entreprise qu'il a longtemps tenu à bout de bras.
Comptant 7.200 salariés, l'entreprise française a enregistré un chiffre d'affaires 2006 de 1,15 milliard d'euros pour une perte nette de 17,1 millions d'euros.
Son histoire a été particulièrement mouvementée. Dans les années 80, Bull est devenu un des premiers acteurs de l'informatique en France. En 1989, le groupe s'offre Zenith Data Systems, constructeur américain de PC, ce qui marquera le début de ses grandes difficultés.
Incapable de grandir aux Etats-Unis, Bull au bord du gouffre a finalement engagé un virage important en se spécialisant dans les services. Ce qui lui a permis de sortir la tête de l'eau. En mai dernier, il annonçait un plan de recrutement : le premier en cinq ans ! Rappelons qu’en 1989, Bull comptait dans ses rangs pas moins de 47.000 personnes..."
Ce serait surprenant qu'IBM ne s'invite pas dans la négociation: Bull, vend beaucoup de serveurs sur OS AIX IBM et développe d'excellents outils pour ce système AIX...
vivement que HP nous rachete !
je sors le champagne !
IBM a vraiement d'autres chats à foueter.Il ne se sont déja débarassé de leurs imprimantes,de leurs portables ,de leurs capacités a fondre des puces alors Bull....
il ne faut pas rêver. Bull ne vend quasiment plus de serveurs Power PC sauf à quelques organismes gouvernementaux et dès la première année du cotrat, IM avait pu constater que Bull World vendait moins que IBM France. IBM larguera donc sans soucis son partenariat avec Bull, ayant déjà refusé de souscrire à toutes les augmentations de capital.
Combien y-a-t'il d'employés Bull en France ? 4500 comme mentionné dans le 1er post? Si cela est confirmé, cela fait autant que HP en France.....
Va être chouette le merge des 2 sociétés en France et il n'y aurait pas de WFR en 2008 en France?
Non, parce qu'ils laisseront Bull la ou il est et en feront une filiale service a part (on en a deja une petite dans le financement qui se nomme HP CRS). La on en aura une grosse...
La restructuration, elle sera d'abord chez Bull, si HP rachete ce qui est loin d'etre fait car de toute evidence Bull est deja en projet avec GFI.
Bull annonce ses résultats du premier semestre 2007
PARIS, August 1 /PRNewswire/ --
- Croissance soutenue au deuxième trimestre
- Rentabilité d'exploitation en ligne avec les objectifs
Chiffres clés du 1er semestre 2007 :
- Le chiffre d'affaires consolidé progresse à périmètre
comparable(1) de 4,6% pour atteindre EUR 550,2 millions, contre EUR 525,8
millions pour la même période de 2006 ; le chiffre d'affaires publié au
premier semestre 2006 était de EUR 559,2 millions
- A périmètre comparable(1), le chiffre d'affaires des activités
de services et solutions progresse de 13,5%, celui des activités de
maintenance croît de 3,2%
- A périmètre comparable(1), le chiffre d'affaires produits est
stable par rapport au premier semestre 2006 avec une croissance de 2,9% au
deuxième trimestre
- La marge brute de EUR 135,1 millions, soit 24,6% du chiffre
d'affaires, baisse de 0,7 point par rapport à celle publiée en 2006, en
raison de l'évolution du mix produits / services
- L'EBIT (voir glossaire) s'élève à EUR 9,5 millions, soit
1,7% du chiffre d'affaires, contre EUR 9,3 millions publiés en 2006
- Le résultat opérationnel atteint EUR 7,2 millions, et, est à
comparer à une perte de EUR 2,8 millions publiée pour la même période de 2006
- Le résultat net s'élève à EUR 4,5 millions, en progression
de 15% par rapport à celui publié au premier semestre 2006
- La trésorerie nette (voir glossaire) du Groupe s'élève à EUR
189 millions au 30 juin 2007
Perspectives : le Groupe confirme un objectif d'EBIT (voir
glossaire) compris entre EUR 20 millions et EUR 24 millions pour l'exercice
2007
Paris, le 1er août 2007 : Le Conseil d'Administration de Bull
(Euronext Paris : BUL.PA) a arrêté les comptes consolidés revus au 30 juin
2007.
Le chiffre d'affaires du premier semestre 2007 s'élève à EUR
550,2 millions, soit une baisse de 1,6% par rapport au chiffre d'affaires de
EUR 559,2 millions publié pour la même période en 2006. Néanmoins, à
périmètre comparable(1), le chiffre d'affaires est en croissance de 4,6%. La
marge brute atteint EUR 135,1 millions ou 24,6% du chiffre d'affaires, à
comparer à EUR 141,3 millions, soit 25,3% du chiffre d'affaires pour la même
période de l'année précédente. L'EBIT (voir glossaire) s'élève à EUR 9,5
millions, soit 1,7% du chiffre d'affaires ; l'EBIT (voir glossaire) publié
pour le premier semestre 2006 était de EUR 9,3 millions. Le résultat
opérationnel, quant à lui, atteint EUR 7,2 millions et se compare à une perte
de EUR 2,8 millions publiée pour la même période de l'année dernière. Bull
enregistre un résultat net de EUR 4,5 millions en croissance de 15%.
Didier Lamouche, Président Directeur Général de Bull, a
déclaré : << Ce semestre, la progression du chiffre d'affaires à périmètre
comparable et la bonne tenue du résultat opérationnel montrent que le plan
d'actions lancé au cours du second semestre 2006 continue à porter ses
fruits.
Nous continuons à recentrer notre portefeuille d'activités
avec, d'une part, la cession de notre filiale au Portugal dont l'offre était
éloignée de nos priorités, et, d'autre part, l'acquisition en Espagne de
Siconet, dont les compétences et le portefeuille de clients renforceront
significativement nos activités de services. Notre gamme dans le domaine des
solutions d'infrastructure a été profondément renouvelée au premier semestre
2007, ce qui nous positionne favorablement pour les trimestres à venir >>.
Résultats financiers du 1er semestre 2007
Sauf indication contraire, les comparaisons sont établies à
semestre équivalent d'une année sur l'autre et à périmètre comparable(1)
Le chiffre d'affaires consolidé progresse à périmètre comparable(1) de
4,6% pour atteindre EUR 550,2 millions, contre EUR 525,8 millions pour la
même période de 2006 ; le chiffre d'affaires publié au premier semestre 2006
était de EUR 559,2 millions
Le chiffre d'affaires des trois activités du Groupe, services
et solutions, maintenance, produits est soit en progression soit stable. Les
acquisitions effectuées en 2006 ont contribué à la croissance du chiffre
d'affaires à hauteur de 1,3 point.
A périmètre comparable(1), le chiffre d'affaires des activités de
Services et solutions progresse de 13,5%, celui des activités de maintenance
croît de 3,2%
Les activités de services et solutions affichent une
croissance de 13,5%, toujours supérieure à celle du marché ; leur chiffre
d'affaires de EUR 173 millions est le plus élevé depuis 2003. Les activités
de maintenance qui avaient progressé de 3,8% au premier trimestre sont à
nouveau en croissance au second trimestre. Au total, la croissance du chiffre
d'affaires maintenance s'élève à 3,2% sur le premier semestre 2007 confirmant
la pertinence des actions entreprises en 2006 : déploiement d'un nouveau
schéma mondial d'organisation, lancement d'offres différentiantes.
A périmètre comparable(1), le chiffre d'affaires produits est stable par
rapport au premier semestre 2006 avec une croissance de 2,9% au deuxième
trimestre
Le chiffre d'affaires de l'activité produits du premier
semestre 2007 est stable à EUR 257 millions alors qu'il était en décroissance
à la fois au premier semestre 2006 par rapport au premier semestre 2005 et au
second semestre 2006 par rapport au second semestre 2005.
La marge brute de EUR 135,1 millions, soit 24,6% du chiffre d'affaires,
baisse de 0,7 point par rapport à celle publiée en 2006, en raison de
l'évolution du mix produits / services
La forte progression (+13,5%) de l'activité services et
solutions, dont le taux de marge est de 11,2%, et la stabilité de l'activité
produits, dont le taux de marge est de 32,0%, expliquent la baisse du taux de
marge brute de 0,7 point. Il convient de noter que le taux de marge de
l'activité services et solutions progresse de 0,8 point par rapport au
premier semestre 2006.
L'EBIT (voir glossaire) s'élève à EUR 9,5 millions, soit 1,7% du chiffre
d'affaires, contre EUR9,3 millions publiés en 2006
Les frais administratifs et commerciaux, exprimés en
pourcentage du chiffre d'affaires, sont en baisse de 0,7 point ; ils
s'élèvent à EUR 102,3 millions contre EUR 108,0 millions publiés en 2006. Les
dépenses de R&D diminuent légèrement de EUR 24,1 millions publiés pour le
premier semestre 2006 à EUR 23,0 millions au premier semestre 2007.
L'EBIT (voir glossaire) s'élève à EUR 9,5 millions contre EUR
9,3 millions publiés pour le premier semestre 2006.
Le résultat opérationnel atteint EUR 7,2 millions et est à comparer avec
une perte de EUR 2,8 millions publiée pour la même période de 2006
Le résultat net s'élève à EUR 4,5 millions, en augmentation de
15% par rapport au résultat net publié au premier semestre 2006
Le résultat net intègre des produits et charges opérationnels
non courants à hauteur de EUR 4,1 millions ; il s'agit principalement de la
plus value de cession de la société Bull Portugal et de la plus value de
cession de titres Arkoon. Le résultat net inclut également une charge de
restructuration à hauteur de EUR 6,4 millions destinée à poursuivre la
réduction de la structure de coûts du Groupe. L'augmentation des frais
financiers nets comparés à 2006 s'explique par une diminution des placements
en certificats de dépôt, partiellement remplacés à partir de novembre par des
placements en OPCVM. L'ajustement de juste valeur sur ces placements à fin
juin 2007, constaté en capitaux propres, est de EUR 1,7 millions.
La trésorerie nette (voir glossaire) s'élève à EUR 189 millions au 30
juin 2007
L'évolution défavorable anticipée du BFR génère un flux de
trésorerie négatif de EUR15,5 millions pour le premier semestre 2007. La
variation du BFR reflète notamment la montée en charge d'un contrat
d'intégration de système aux Etats-Unis pour lequel le paiement
n'interviendra qu'en 2008 d'une part, et la livraison partielle d'un contrat
de HPC en France d'autre part. Au cours de la même période, les éléments non
récurrents, liés principalement aux acquisitions et aux restructurations, ont
généré un flux financier négatif de EUR 20,7 millions. A fin juin 2007, la
trésorerie brute (voir glossaire) est ainsi de EUR 286,1 millions et la
trésorerie nette (voir glossaire) de EUR 189,0 millions.
Faits marquants du premier semestre 2007
Bull a résolument inscrit le premier semestre 2007 dans la
poursuite de son engagement stratégique, conjuguant le meilleur des services
et des technologies ouvertes, associant serveurs ouverts, maîtrise des
infrastructures complexes et des applications critiques, calcul intensif et
Open Source.
Serveurs : des innovations significatives pour plus de
performance et une diminution de la consommation d'énergie
Dans le domaine des serveurs d'entreprise, Bull a annoncé de
technologies innovantes permettant de diminuer la consommation d'énergie, de
réduire les émissions de CO2 et d'augmenter les performances, notamment avec
l'introduction dans sa gamme NovaScale(R) des nouveaux processeurs quadri
coeurs d'Intel apportant un accroissement sensible du ratio performance /
watt.
Bull a également annoncé pour les applications de calcul
intensif le serveur NovaScale(R) R422 qui associe une densité de calcul
exceptionnelle permettant d'optimiser l'utilisation de l'espace et un
rendement énergétique très élevé contribuant à préserver l'environnement.
De plus, Bull a renforcé son offre de serveurs NovaScale(R)
Microsoft(R) Windows(R) à tolérance de pannes et a introduit les premiers
serveurs Escala(R) équipés du nouveau processeur POWER6(TM). Développés en
partenariat avec IBM, ces nouveaux serveurs Escala(R) sont prioritairement
destinés au support des applications au coeur du centre informatique.
Enfin, Bull a confirmé une nouvelle fois sa très grande
compétence dans les solutions d'infrastructure de Business Intelligence en
apportant le meilleur ratio prix / performance de l'industrie avec le serveur
Bull NovaScale(R) sous Microsoft(R) SQL Server 2005.
Services : une montée en puissance dans les applications
critiques et les infrastructures complexes
Bull a confirmé sa volonté de développer agressivement ses
activités de services dans des segments spécifiques et sur des marchés
porteurs. Bull a ainsi annoncé l'acquisition de Siconet, société de services
espagnole spécialisée dans le conseil, l'intégration de systèmes, le
développement logiciel et l'assistance technique.
En France, Bull associé à ses partenaires a été retenu au
Ministère des Finances par l'Agence pour l'Informatique Financière de l'État
(AIFE), l'un des plus importants marchés de services d'infrastructure et de
sécurité national, pour le développement et le maintien en conditions
opérationnelles du programme Chorus. Chorus a pour vocation de gérer la
dépense, les recettes non fiscales et la comptabilité de l'État. Il sera
déployé dans toutes les administrations centrales et déconcentrées de l'Etat
d'ici 2010.
Aux Etats-Unis, Bull a renforcé sa position de 1er fournisseur
de prestations de Business Intelligence auprès des services de santé du
service public après le choix de l'Etat de Californie pour les solutions de
Bull dans le cadre du programme de santé américain << Medicaid >>. Avec ce
nouveau contrat, les solutions de Bull aux Etats-Unis gèrent désormais les
prestations de santé d'un allocataire de Medicaid sur quatre, soit 15
millions de personnes, ce qui représente 1/3 des dépenses de Medicaid (Source
: Commission Kaiser sur les agences de santé).
Enfin, Bull a annoncé la signature d'un accord avec le
Gouvernement marocain pour la création, au sein de Casashore, d'un centre de
services dédié à l'offshoring. Ce centre de services sera dédié aux projets
de maîtrise d'oeuvre et d'intégration dans le secteur des télécommunications
ainsi qu'aux projets de e-gouvernement, activités oÙ Bull Maroc peut
capitaliser sur ses succès récents pour devenir l'un des leaders du marché.
De nouveaux succès et de nouveaux partenariats confirment la
percée de Bull dans le Calcul Haute Performance
Le Calcul Haute Performance (HPC) demeure l'un des axes
prioritaires du développement du Groupe.
Dans le domaine de la recherche scientifique, Bull et
l'université de Dà¼sseldorf ont annoncé une coopération de deux ans à
l'occasion de la mise en service d'un supercalculateur NovaScale(R) au Centre
des technologies de l'information et de la communication (ZIM). Cette
coopération intervient dans la conception des futurs systèmes de calcul haute
performance dans les domaines des technologies de visualisation, des
composants logiciels et des technologies de cluster de calcul haute
performance.
De plus, le réseau fédéral allemand de calcul scientifique
D-Grid s'est également équipé d'un supercalculateur Bull qui sera hébergé par
l'Université Leibniz de Hanovre. Sa puissance sera mise à la disposition de
l'enseignement supérieur et des centres de recherche allemands.
Dans le domaine de l'industrie, les supercalculateurs de Bull
ont été notamment retenus par Quadrics pour le nouveau centre de calcul haute
performance d'Alenia Aeronautica, filiale de Finmeccanica ; et par Alcan qui
a sélectionné sa nouvelle infrastructure de calcul haute performance pour sa
puissance évolutive, son faible emplacement au sol et sa consommation
électrique réduite.
Renforçant ses partenariats dans le domaine des technologies
de calcul intensif, Bull a annoncé la création de TALOS (Technologies for
Advanced Large Scale Open Supercomputing), en partenariat avec le CEA
(Commissariat à l'Energie Atomique), le HLRS (Centre National de Calcul Haute
Performance d'Allemagne), Intel et Quadrics. TALOS a comme objectif
l'accélération du développement de solutions de HPC en Europe.
Bull est également au coeur du consortium ParMA (Parallel
Programming for Multi-core Architectures), auprès de grands industriels et
centres de recherche spécialisés dans le calcul haute performance en
Allemagne, en Espagne, en France et au Royaume Uni. Le principal objectif de
ParMA est d'aider la communauté du calcul haute performance à bénéficier de
l'évolution rapide des processeurs en développant des technologies
innovantes, flexibles et ouvertes pour tirer pleinement parti des
architectures multi-coeurs.
La dynamique dans l'Open Source confortée
Lors du premier semestre 2007, Bull a démontré à nouveau sa
capacité à développer dans le domaine des logiciels libres des offres
innovantes en s'appuyant sur ses propres experts et en tissant de nouveaux
partenariats à travers un réseau mondial.
Lors du salon Linux Solutions à Paris, Bull a annoncé
NovaForge, une plate-forme innovante de développement collaboratif basée sur
l'Open Source, pour réduire la charge de développement et diminuer les
risques, pour optimiser la gestion des délais, améliorer la qualité des
logiciels délivrés et faciliter l'appropriation du projet par les différents
acteurs.
Bull a établi un partenariat technologique et commercial avec
SpikeSource, fournisseur de solutions Open Source d'entreprise, afin
d'accélérer conjointement l'adoption des applications Open Source au sein des
entreprises.
Enfin, pour soutenir le développement d'acteurs informatiques
locaux, (PME, éditeurs et grands intégrateurs et fabricants), Bull s'est
associé à de grands acteurs de l'Europe, de la Chine et du Brésil pour lancer
QualiPSo, une plate-forme << qualité >> dédiée au développement des logiciels
libres, leviers de croissance au service de la compétitivité de leurs
industries. QualiPSO est aujourd'hui la plus importante initiative Open
Source financée par la Communauté européenne.
Perspectives
Le Groupe confirme les perspectives annoncées en février 2007,
à savoir un objectif d'EBIT (voir glossaire) compris entre EUR 20 millions et
EUR 24 millions pour l'année 2007. Les facteurs clés permettant d'atteindre
ces objectifs seront la poursuite de la stabilisation de l'activité
Maintenance, l'amélioration de la marge des activités de Services et la
croissance des ventes de serveurs ouverts.
Glossaire :
Clause de Retour à Meilleure Fortune (CRMF) : En contrepartie
du versement d'une aide à la restructuration de la part de l'Etat Français,
Bull s'est engagé en 2004 à lui verser annuellement une portion de son
Résultat Courant Avant Impôts (RCAI) pour les exercices 2005-2012, sous les
conditions cumulatives suivantes : (i) le RCAI de l'exercice considéré est
supérieur ou égal à EUR10m ; (ii) le flux de trésorerie généré par les
opérations de l'exercice est supérieur ou égal à EUR10m ; (iii) que les
capitaux propres de Bull ne deviennent pas inférieurs de EUR10m par
l'application de la CRMF pour un exercice. Si l'un des trois critères n'est
pas rempli, aucune somme n'est due. Une description complète de la CRMF est
disponible dans le rapport annuel de Bull.
EBIT (Earnings before interest and taxes) correspond au
résultat avant impôts, autres produits et charges opérationnels, autres
charges et produits financiers et quote part des résultats des sociétés
associées.
La trésorerie brute est constituée de la trésorerie et
équivalents de trésorerie (y compris OPCVM classés monétaire Euro par l'AMF),
des actifs financiers disponibles à la vente (autres OPCVM de trésorerie),
des dépôts et comptes de garantie.
La trésorerie nette correspond à la trésorerie brute moins
l'endettement.
Endettement : financement sur cession de créances avec
recours, emprunts bancaires et obligataires.
Investissements opérationnels : acquisition d'actifs par Bull
pour son propre compte ou pour le compte de clients dans le cadre de contrats
<< managed services >>.
A propos de Bull, architecte d'un monde ouvert
Expert des systèmes d'information ouverts, flexibles et
sécurisés, Bull est l'un des premiers acteurs informatiques européens. Le
Groupe accompagne les grandes entreprises et les administrations dans la
transformation de leur système d'information en leur apportant son expérience
et son savoir-faire dans trois domaines fondamentaux :
- serveurs ouverts, robustes et performants basés sur des
technologies standard, bénéficiant de son savoir-faire historique dans le
domaine des grands serveurs d'entreprise ;
- infrastructures applicatives flexibles et communicantes,
grâce à ses alliances avec les principaux éditeurs et son engagement de
longue date dans les logiciels libres ;
- sécurité de bout en bout des échanges et des données pour
préserver la souveraineté de ses clients.
Bull est particulièrement présent dans le secteur public, la
santé, la finance, les télécommunications, l'industrie et la défense. Son
réseau de distribution et de partenaires s'étend sur plus de 60 pays.
Pour plus d'informations : http://www.bull.fr
-------------------------------------------------------------
Chiffres clés du premier semestre 2007
-------------------------------------------------------------
Premier semestre Premier semestre
EUR millions 2006 2007
-------------------------------------------------------------
Chiffre d'affaires 559,2 100% 550,2 100%
dont produits 264,8 47% 256,8 47%
dont maintenance 123,7 22% 120,4 22%
dont services 170,7 31% 173,0 31%
-------------------------------------------------------------
Marge brute 141,3 25,3% 135,1 24,6%
-------------------------------------------------------------
EBIT (voir 9,3 1,7% 9,5 1,7%
glossaire)
-------------------------------------------------------------
Résultat net 3,9 0,7% 4,5 0,8%
-------------------------------------------------------------
-------------------------------------------------------------
Trésorerie
-------------------------------------------------------------
Premier semestre Premier semestre
EUR millions 2006 2007
-------------------------------------------------------------
EBIT 9,3 9,5
-------------------------------------------------------------
Amortissements 9,6 9,4
-------------------------------------------------------------
Investissements (10,4) (8,0)
opérationnels
(voir glossaire)
-------------------------------------------------------------
Variation du BFR (4,7) (24,8)
-------------------------------------------------------------
Frais financiers (0,3) (1,3)
payés
-------------------------------------------------------------
Impôts payés (0,8) (0,3)
-------------------------------------------------------------
Flux provenant des 2,7 (15,5)
opérations
courantes
-------------------------------------------------------------
Trésorerie brute 295,6 286,1
-------------------------------------------------------------
Trésorerie nette 213,2 189,0
-------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
Comptes consolidés résumés
---------------------------------------------------------------------
- Compte de résultat consolidé
---------------------------------------------------------------------
EUR millions 1H06 1H07
---------------------------------------------------------------------
Chiffre d'Affaires 559,2 550,2
Marge Brute 141,3 25,3% 135,1 24,6%
Frais de R&D (24,1) 4,3% (23,0) 4,2%
Frais Administratives et Commerciales (108,0) 19,3% (102,3) 18,6%
Gain / (Perte) de change 0,1 (0,3)
---------------------------------------------------------------------
EBIT : (voir glossaire) 9,3 1,7% 9,5 1,7%
---------------------------------------------------------------------
Autres produits opérationnels 3,2 4,0
Autres charges opérationnels (16,3) (6,4)
Quote-part dans les résultats
nets des entreprises associées 1,0 1,0
---------------------------------------------------------------------
Résultat Opérationnel (2,8) 7,2
---------------------------------------------------------------------
Résultat Financiers (0,3) (2,4)
Impôt (0,8) (0,3)
Ajustement impôts différés (19,7) -
Ajustement CRMF (voir glossaire) 27,3 -
Résultat Net 3,7 4,5
Intérêts Minoritaires 0,2 -
---------------------------------------------------------------------
Résultat Net part du Groupe 3,9 4,5
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
Comptes consolidés résumés
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- Bilan consolidé simplifié
---------------------------------------------------------------------
EUR millions 30 juin 30 juin
---------------------------------------------------------------------
Comptes consolidés résumés
---------------------------------------------------------------------
2006 2007
---------------------------------------------------------------------
Immobilisations corporelles & incorporelles 64,7 47,3
Goodwill 20,0 37,7
Actifs financiers non courants 11,6 67,3
Impôts différés 32,0 28,0
---------------------------------------------------------------------
Actifs non courants 128,3 180,3
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Stocks et en cours 43,4 45,0
Créances clients 255,6 235,0
Autres actifs courants 64,5 58,9
Placements en garantie 21,3 10,1
Trésorerie & équivalents 274,3 202,1
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Actifs courants 659,1 551,1
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Actifs non courants détenus en vue de la vente - 0,5
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Total de l'actif 787,4 731,9
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Capitaux Propres - part du Groupe 91,1 81,0
Intérêts Minoritaires 0,1 0,1
Réserves & Passifs non courants 173,1 155,3
dont CRMF (voir glossaire) 26,7 26,7
Réserves et Passif courants 523,1 495,5
dont dette financière 82,4 97,1
dont part à court terme des emprunts 68,5 84,5
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Total du passif 787,4 731,9
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Avertissement
Ce communiqué de presse contient des éléments fondés sur des projections
ou des prévisions dont la nature est sujette à risques et incertitudes. Ainsi
il se pourrait que les résultats anticipés diffèrent.
Même si Bull estime que les prévisions et l'information du présent
communiqué sont basées sur des hypothèses raisonnables au moment oÙ elles ont
été établies, aucune garantie ne peut être donnée sur la réalisation des
objectifs ou l'atteinte des anticipations décrites dans le présent
communiqué.
Ni Bull ni aucune autre société du groupe ne donnent de garantie de
quelque ordre que ce soit sur l'exactitude, la fiabilité ou la complétude des
informations dans le présent communiqué et ni Bull, ni une autre société du
groupe ni ses responsables peuvent être tenu responsable de l'utilisation des
informations de ce communiqué.
(1) Le périmètre de comparaison est celui du 30 juin 2007. Le
premier semestre 2006 est ainsi retraité des activités italiennes et le
deuxième trimestre 2006 est retraité des activités portugaises. Les sociétés
acquises en 2006 sont inclues en 2006. Siconet n'est pas intégrée dans le
compte de résultat du premier semestre 2007.
Bull n'a "aucune négociation" officielle avec HP
LMI Edition du 01/08/2007
Didier Lamouche, PDG de Bull, a précisé lors d'une conférence de presse téléphonique ce matin que son groupe n'avait reçu "aucune proposition formelle" de la part de HP. Une rumeur persistante sur le marché estime en effet que le groupe américain pourrait faire une offre, que nos confrères du site Web de Capital évaluaient à 720 ME. "Aucune négociation n'est en cours", a précisé Didier Lamouche, qui s'est dit flatté de l'existence même d'une telle rumeur, prouvant l'intérât que Bull pourrait avoir aux yeux du numéro un mondial de l'informatique. "C'est un hommage pour Bull et son équipe de management."
Comment faut-il interpréter ce dernier message sur la "non-négociation officielle" ?
Curieux, non ???
Dans les années 80 (j'y étais ! ) HP avait déjà tenté de rentrer dans le capital de Bull !! HP a fait des pieds et des mains pour obtenir 10% des parts avec des démonstrations de savoir-faire (habillage d'un serveur HP aux couleurs de BULL au siège de HP à Evry par exemple). Mais finalement c'est IBM qui a remporté l'affaire car ils offraient plus....
tout à fait exact, j'y étais aussi, c'est à l'agence de la porte Champerret que le serveur avait été livré, fait en un temps record à BBN, c'était un sacré exploit de l'habiller aussi vite et un sacré coup mais ça n'a pas suffi...
Moi j'ai fait mon stage d'IUT chez Bull à Louvecienne (triangle de Rocquencourt)... Bon souvenir.
j'ai passé 20 chez Bull ! on y trouve de tout. du meilleur comme du pire. Mais ca ne vous a pas interpellé quelque part de voir un prix marché de 720 M pour Bull qui a plus de 7000 employés et 1,6 B pour Opsware avec seulement 450 personnes?
ben oui, on a compris, HP s'achete l'autorisation de faire des plans
sociaux pour eviter au gouvernement de faire le boulot !!!
13 août, 2007 10:27
HP avait deja vendus son plan social a SCI-SANIMA.
La boucle est bouclee.
je sais pas si HP rachetera BULL ( ca a l'air mal parti) mais visiblement BULL est bien parti pour racheter GFI
Apparemment il y aurait un rapprochement HP/Bull afin de dévellopper l'activité service (IT) en france, mais quid des salariés de HP et Bull ?
Est ce que les salariés de Bull
sont aussi "senior" que les employes service hp.La moyenne
d age ds les services hp doit bien tourner aux alentour de 50 ans
maintenant.
Apparemment il y aurait un rapprochement HP/Bull afin de dévellopper l'activité service (IT) en france, mais quid des salariés de HP et Bull ?
Tu tiens ça de ou ?
svp
que se dit il autour de la machine à café concernat hp pr les personnes qui travaillent chez bull ?
merci :-)
vous êtes du forum Boursorama consacré à Bull ? ;)
Les équipes qui travaillent sur les acquisitions sont internationales, n'impliquent pas ou peu les filiales dans leurs études de dossiers et donc les employés et le management n'apprennent que par des fuites dans les médias ou le jour de l'annonce, comme tout le monde.
Pour répondre à la question, une rumeur de la machine à café dit que le projet est sans suite. Et aussi que s'il devait y avoir acquisition, étant donnée la taille de Bull (plus d'employés qu'HP en France), cela resterait une filiale autonome, non intégrée.
Mais ce ne sont que des impressions. Nous on n'y croit plus trop à cette acquisition mais on est quand même en contact avec la CFTC Bull au cas où.
BULL COINCE (20/8/07)
L’établissement du groupe national d’informatique ne tourne plus depuis mercredi dernier Les salariés refusent les 396 licenciements programmés
PLUSIEURS centaines de salariés de Bull ont immobilisé le TGV en gare d’Angers, durant une demi-heure, hier après-midi. Ils se sont ensuite rendus jusqu’à la préfecture pour réaffirmer auprès des pouvoirs publics leur exigence qu’aucun emploi ne soit supprimé dans l’établissement industriel du groupe national d’informatique. Le matin, l’assemblée générale organisée devant les portes de l’établissement avait reconduit la grève entamée mercredi dernier. Les départs en vacances n’ont pas entamé la détermination. Sur 508 personnes munies d’un bulletin de vote, 403 se sont prononcées pour la poursuite de l’action.
http://www.challenges.fr/20071019.CHA2172/bull_ouvert_a_une_eventuelle_offre_de_hp.html
A lire ce week-end dans Investir, un entretien avec Didier Lamouche, président de Bull. Si le groupe a confirmé ses objectifs annuels lors de la publication de son chiffre d’affaires trimestriel, Bull affirme qu’il n’a jamais cessé de discuter avec GFI Informatique. Le dirigeant estime que les négociations menées avec la société, cet été en pleine crise des "subprimes ", se déroulent à présent dans un contexte plus favorable après l’échec de l’OPA de Fujitsu sur GFI. " Nous n'avons jamais cessé de discuter avec GFI Informatique (…) Nous nous situons désormais dans un contexte plus paisible, qui nous permet d’étudier sereinement le dossier. Nous avons des contacts avec GFI mais avec d'autres groupes aussi. On ne regarde jamais un seul dossier à la fois. Nous sommes actuellement en discussion avec deux ou trois acteurs en vue d'un rapprochement. Nous faisons office de cible mais aussi de prédateur. Nous pourrions réaliser des petites acquisitions, et n'excluons pas non plus une opération d'envergure. Je confirme que nous n'avons pas reçu d'offre formelle de la part de Hewlett Packard " nous a ainsi indiqué Didier Lamouche.
Retrouvez l’intégralité de cet entretien dans Investir ce week-end ou sur investir.fr
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